Mue par le Papillon, son animal toteM,
Accrochée au vent, elle voyageA
Rapide, alerte, prête à rencontreR
Ici où là, le surprenant, l’inouI
Et à s’y accrocher le temps d’une dansE.
Légère comme la feuille à l’envoL,
Agile mais ancrée, elle se posA
Bientôt sur le seul baobaB
Irrigué par la Loire, entre ailleurs et icI:
Dans notre chère Compagnie, où il n’est jamais tarD.
Ouvrant notre porte, celle sans numérO,
Immédiatement, elle fit ce parI:
Rugir enragée aux réseaux pour joueR.
Et là le Papillon devint Lionne de LoirE.