Bienvenue dans le monde cosmique de La compagnie du Coin, la compagnie qui transforme nos villages en soucoupes volantes.
La compagnie du Coin c’est le cerveau chantant de la commune féerique de Saint Coin, seule commune au monde jumelée avec toutes les communes du monde.
Telle un Groland musical, reignent à Saint Coin le bonheur des ouïes et les cœurs grands ouverts.
Et un seul ministère : celui de la musique. Car à Saint Coin la musique est universelle, des orchestres & une fanfare où les sons du monde entier viennent se mélanger, des musicien.nes extraterrestres arrivent jusqu’à nous simples badauds, simples piétons et nous embarquent aux sommets de solos de jazz, tutti contemporains, rythmiques épiques, mises en scène dada et salvatrices.
C’est la danse, le jeu, la surprise.
C’est une musique singulière loin des clichés qui s’offre à la rue.
C’est une chance pour celles et ceux qui sont là.
Le spectacle est entier.
Le voyage est interstellaire.
La compagnie du Coin s’offre à nous.
Elle incarne le rêve de Prince et de tous.tes les musicien.nes du monde :
amener la musique, la grande, la belle, l’universelle, au cœur des villes et des villages, à la rencontre des humains, pour encore et toujours un peu plus ouvrir les oreilles et les cœurs.
Merci ô Compagnie pour la si belle inspiration !
Et longue vie à vous anges de Saint Coin !
THOMAS DE POURQUERY
Saxophoniste-chanteur, fondateur du groupe SUPERSONIC, chroniqueur FIP
Fabienne, c’est Charlotte. Et elle est loin d’être aux fraises!!! (ta ka pshhhh). Non, elle, c’est plutôt la pêche. Et c’est sans doute pour ça qu’elle trône en haut des arbres, telle la chouette. Enfin, elle grimpe partout d’ailleurs: un cadre, une façade, un vélo…
Et puis s’en vient l’automne, ses premières bruines, son ciel à ras de front, et le monde se met soudainement à sentir le bitume humide, la poussière qui brûle sur le radiateur, et le cartable Lafuma…
“L’été, on s’ouvre à l’autre”, me disait l’autre jour un ami du Cap d’Agde. Et c’est vrai. L’été, il fait beau (lol…), le monde tout entier sent l’anis, les herbes de Provence, le sable chaud. Chaque visage voit ses muscles se détendre à laisser apparaître à nouveau ce sourire naturel dont les rigueurs climatiques l’avaient privé durant plusieurs mois. Et l’on veut rire, discuter, danser, caresser, chanter, VIVRE, quoi, merde !...